L'univers de MAYAM

  MAYAM Créations est né d’une histoire vraie : la mienne.

   Entre la sensibilité de mon père guérisseur, la créativité de ma mère artiste, et un parcours d’excellence dans la joaillerie, je conçois aujourd’hui des bijoux uniques, vibratoires, porteurs de lumière et d’âme.

  Bienvenue dans mon univers.

Mon parcours

  Mon chemin dans la bijouterie a commencé à l’école de Morteau, au cœur des montagnes du Haut-Doubs. J’y ai obtenu un CAP Art du bijou et du joyau, un BMA (Brevet des Métiers d’Art) option joaillerie, ainsi qu’un certificat de gemmologie, qui m’a permis d’approfondir ma connaissance et mon lien avec les pierres.

  J’ai fait mes débuts chez un joaillier créateur à Nancy, avant de participer aux Olympiades des Métiers, où j’ai remporté la médaille d’argent au niveau national.
J’ai ensuite affiné mon savoir-faire entre la Suisse et Lyon, jusqu’à ce que je sente, en 2017, qu’il était temps de créer mon propre atelier
 : MAYAM Créations.

  Mon approche s’est peu à peu orientée vers l’énergétique, portée par un cheminement spirituel profond. Chaque bijou que je crée est le fruit d’une canalisation intuitive, d’une écoute vibratoire. Je sélectionne des pierres d’exception, uniques, parfois rares, qui résonnent avec l’âme de la personne qui les portera.

  Aujourd’hui, je conçois et réalise des bijoux vibratoires et personnalisés, guidés par l’histoire, l’énergie et les intentions de chacun. Je m’entoure d’un réseau d’intervenants d’excellence — modeleurs 3D, fondeurs, sertisseurs — pour faire rayonner chaque création dans sa plus haute qualité, à la fois matérielle et spirituelle.

  Chez MAYAM Créations, un bijou est bien plus qu’un ornement : c’est un talisman vivant, un message, un héritage sacré. Je m’engage à vous offrir une création sur mesure, porteuse de sens et de lumière. Un bijou qui rayonne avec vous, en vous, et bien au-delà.

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Envie de rayonner ?  ; )

Mon histoire secrète

  Je viens d’une famille modeste, du Jura. Avec mon frère jumeau, on faisait nos devoirs en moufles l’hiver, tant il faisait froid à la maison.
Les factures étaient difficiles à payer. Mon père, maçon à son compte, travaillait dur. Il ne se faisait pourtant pas toujours payer. Non pas parce qu’il manquait de talent — il est devenu contremaître, puis chef de chantier en Suisse — mais parce qu’il était trop gentil. Il avançait les chantiers sans acompte, par pure confiance.

  Ma mère, elle, travaillait dans l’aide aux personnes âgées jusqu’à ma petite enfance, avant de se rendre compte que son salaire partait entièrement chez la nounou. Elle a alors trouvé du travail plus près de la maison, et nous gardait dès qu’elle le pouvait. Elle faisait des ménages, des petits boulots pour payer les factures. Mais surtout, elle peignait. Elle décorait la maison avec passion, la rendait vivante. C’est une véritable artiste, discrète, lumineuse, qui n’a jamais osé se montrer au monde mais qui m’inspirait chaque jour.

  Aujourd’hui, je réalise à quel point je leur ressemble. J’ai hérité de la créativité de ma mère, de ses « doigts en or »; et de la sensibilité de mon père, son attrait pour la spiritualité et ses dons de guérisseur.

  C’est tout cela que je mets dans mes bijoux : une alliance entre l’art et la dimension énergétique. Un lien entre spiritualité et matière. De là sont nés les bijoux de mon âme : les bijoux MAYAM, porteurs de sens, de lumière et d’histoire.